La fin des vacances.

Dernier article pour ces vacances d’été 2017. Elias est également rentré de Berlin. Nous en avons profité pour un selfie. Ne vous inquiétez pas de la drôle de chose près du visage de Catia, c’est la forme en spéculos qu’elle a rapporté de Bruxelles et qui fait le lien avec notre périple.

Elias a eu droit à sa dernière péripétie lorsqu’il a fait le check-in à Berlin samedi passé. Un échange soutenu de messages via What’s app en témoigne. J’avais complètement oublié qu’il avait deux petites valises et enregistré seulement un bagage en cabine. Il a dû donc courir une première fois dans l’aéroport pour trouver le guichet et mettre la plus grande des deux valise en soute avec paiement à la clé. Puis lorsqu’il s’est présenté vers la porte d’embarquement, le steward lui a fait remarquer que sa petite valise était trop lourde pour « Swiss » (je me permets cette remarque parce qu’à l’aller, elle était OK pour EasyJet). Re-cavalcade pour aller au comptoir et enregistrer son deuxième bagage en soute… avec re-paiement. Bon, je lui ai remboursé ses frais et décidé que la prochaine fois, il réserve lui-même. Je me contenterai d’introduire les données de carte de crédit.

Jeudi, retour à l’école. Nous nous réjouissons d’aller en Sicile en octobre.

Little New York at the Main.

Ce matin nous avons pris le train à 11h00 à Berlin et sommes arrivés à Frankfurt à 15h00. J’ai ainsi pu tester la dernière génération d’ICE, tout confort y compris avec une liaison Wifi digne de ce nom.

Après avoir fait le check-in à l’hôtel, nous avons fait un tour en ville. Je commence d’abord par la raison qui m’a fait choisir ce titre un peu ironique. En effet, je ne suis pas resté persuadé que la ville a fait le bon choix architecturale pour son développement. Nous avons traversé un quartier qui pourrait faire penser à Manhattan avec ses gratte-ciel.

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Mais une fois que l’on est sur la plateforme de la Main Tower (qui combine un jeux de mot traduction litérale tour principale – ou référence à la rivière traversant la ville, la « Main ») j’ai pu rapidement photographier ce qui me dérangeait, soit le mélange des genres. En plus de ces gratte-ciel qui sont un peu disséminés dans la ville, il y a;


Des immeubles de style avant la guerre.


Des immeubles de dernière génération


Et du mixte qui fait penser aux années 50.

Sur cette terrasse, Timo a joué au modèle pour sa sœur.

C’est ma vision qui me fait dire que cette ville n’a pas de caractère.

Nous sommes également allés dans un quartier reconstitué à l’ancienne avec une place au milieu, ce qui a fait dire à Timo que cela ressemblait beaucoup à Stammheim.


Il m’a demandé de prendre en photo cet hôtel restaurant.

Mais lorsque l’on regarde ce qu’il y a à coté ou en face …

Cela donne une idée du mélange des genres. Ci-dessous la façade en continuation (du musée).

Nous avons ensuite enprunté le pont piétonnier enjambant la « Main » et qui se donne des airs parisiens.

Nous avons visité un quartier d’une commune voisine où la vie nocturne à l’air animée du fait du nombre des bar-restaurants. Il y avait même un « Hooters » ce que je n’aurais pas imaginé.


Ce n’est pas le hooters, il n’ouvrait qu’à 18 heures.

Nous nous sommes arrêtés dans un petit bistrot « d’autrefois » et les enfants ont décidé de rester dehors car ça puait. En effet, il était autorisé d’y fumer.

Puis au retour, j’ai pris un cliché montrant la situation météorologique de cette journée, alternant entre nuages et soleil.

Le soir nous avons réalisé le vœu des enfants. Ils voulaient pouvoir manger dans un restaurant équipé d’un tapis roulant où la nourriture défile. Nous sommes donc allés dans un restaurant japonais. Nous avons dû atteindre 20 minutes avant de pouvoir nous assoir, mais cela valait la peine. Les cuisiniers préparaient les sushis à notre vue et le choix était large. Alice et Timo ont vraiment eu du plaisir.

Demain, retour à la maison pour finir ma troisième semaine de vacances.

Dernier jour à Berlin.

Pour notre dernier à Berlin j’ai tenu une promesse faite aux enfants. La visite du « Mall of Berlin » grande galerie commerciale située à la place Potzdam. Record de durée dans ce centre 2 1/2 heures.

Courte vidéo qui montre que l’on peut aussi s’amuser ici.

Nous sommes allés ensuite au musée de l’espionnage. La description était alléchante au niveau de l’interactivité. Mais le résultat un peu décevant. Il y avait beaucoup à lire ou à écouter qu’à faire. Seuls le jeu du rayon laser (petit parcours pour les enfants à faire sans toucher les rayons) et le jeu du Scan avec la possibilité d’obtenir des statistiques étaient vraiment interactifs.


De ce musée, j’ai juste pris la porte d’entrée en photo puisqu’ils ont les mêmes installations qu’au centre d’exploitation d’Olten.

Après cela retour au Mall qui est juste à coté pour manger une petite collation dans la partie restauration où plusieurs dizaines de marchands étaient présents. J’allais écrire courte, mais lorsqu’il faut 30 minutes pour trouver le type de cuisine, commander et obtenir son plat, je pense que ce n’est pas vraiment court.

Nous avons ensuite retrouvé Elias au bar-terrasse dans lequel nous n’avions pas pu aller le premier jour. Vu qu’il était 16 heures, il y avait de la place. Nous nous sommes stratégiquement déplacés au fur et à mesure des places disponibles et sommes passés de la partie sud de la terrasse, laquelle était en plein soleil, à la partie nord, abritée. Nous avons pu ainsi voir une partie de la ville, puis une partie du zoo depuis en haut. Accessoirement nous avons bu des boissons intéressantes dont des mojitos vraiment bien faits. PS: cela fait drôle de ne plus être seul à boire des boissons alcoolisées.


C’est comme ça que nous avons pu voir les orangs-outans qui n’étaient pas visibles dimanche.


Devinez qui est ce « Anonymous ». Vu le climat actuel, nous lui avons conseillé d’enlever le masque dans ce lieu public.

Une chose me tenait à cœur. Aller faire du vélo sur la piste de l’ancien aéroport de Tempelhof. Cela a été possible en fin de journée. Nous avons même fait 10 minutes de kart à quatre places pour le plaisir. C’était vraiment de voir l’ancienne aérogare encore entière avec un avion devant. Comme si le temps s’était arrêté.


L’aérogare. N’est pas accessible.


Le « runaway » sur lequel nous avons roulé et qui a encore toutes les indications de son précédent emploi.


Un avion parqué devant et dont je n’ai pas encore trouvé la raison de sa présence.

Vidéo du tour en kart. IMG_0916

Enfin, nous sommes allés manger dans un restaurant recommandé par un journal local qui s’appelle « 12 Apostel » les 12 apôtres. La nourriture était bonne, les portions grosses. Il était temps à 22h30 d’accompagner Elias au train et de lui dire au revoir. Timo était triste, mais en même il le reverra samedi 19 août à Porsel.

Bärlin.

Berlin fait comme Zürich en son temps. La dissémination d’animaux peints dans différents endroits de la ville. À Zürich, si je ne me trompe pas, c’était les vaches. Ici, c’est l’ours. Quoi de plus normal.

Voici les quelques ours pris au cours de nos visites. L’article sur la dernière journée à Berlin avec Elias suivra.


En premier celui que je préfère. L’ours à l’entrée du Zoo.


La tour TV.


Près de l’église bombardée.


Devant l’hôtel.


Le plus stylé avec seulement le nom du café devant lequel il est placé.

Et enfin, les miniatures que nous aurions pû acheter à l’hôtel.

Berlin, un dimanche.

Nous sommes allés de bon matin dans un ancien aéroport de Berlin inauguré en 1923 et fermé en 2008. Aujourd’hui il sert de parc de loisirs aux Berlinois qui en ont décidé ainsi lors d’une votation. Nous avons traversé une des deux pistes de part en part.


Le début de la piste côté Tempelhof.


Un instant dans le ciel.

IMG_0903 petits jeux entre Alice et Timo pendant la traversée.


Et enfin l’autre bout qui surprise est en déclivité.

Puis nous avons repris le S-Bahn de l’autre coté pour retrouver Elias au Jardin Zoologique de Berlin. Petit clin d’œil à Natacha et Valentine.


Chevaux sauvages à qui la direction du zoo n’a pas appris l’orientation client. Une petit sourire n’aura pas fait de mal.


Ne vous fiez pas à ce joli et sage petit chat… sauvage qui pourrait vous mettre dans un sale état s’il attaquait.

Et pour finir un instantané sur la frustration d’Alice qui ne pouvait pas comprendre pourquoi des animaux pouvaient avoir des maisons plus spacieuses que la nôtre à Porsel.

En fin de journée nous avons été manger à l’initiative de Catia dans un restaurant nommé « Unsicht-Bar » (traduction: bar invisible). Avec le selfie ci-dessous, vous allez comprendre le concept.

Bien sûr, il s’agissait de s’assoir, boire et manger dans le noir absolu. Même si le début était déroutant, le repas s’est très bien passé et était même amusant lorsque Catia n’a pas compris tout de suite la blague du selfie. Il était aussi amusant de se rendre compte que nous utilisons souvent « tu vas voir » ou « je te montre » même dans ce contexte.


Un petit selfie à la sortie qui confirme que le repas à l’aveugle a plu aux participants.


Au cas où vous seriez intéressés.

Berlin, cache-cache avec la pluie.

Les pronostics météos sont aussi bons ici qu’en Suisse. On ne peut pas se fier aux annonces du jour précédent. Et quand on ne contrôle pas le matin même, on joue à cache-cache avec la pluie qui tombe parfois.

Le matin tôt, j’ai profité avec Timo de la piscine de l’hôtel. Puis après le déjeuner, nous sommes allés à l’attraction nommée « Little Big City Berlin ». Elles consistait à représenter en miniature la ville (en partie) dans différentes époques. Je suis désolé ne n’apporter que des photos des WC. C’est ce qui m’a le plus marqué.


Carrelage du mur que je mettrais volontiers à la maison.


Petites miniatures intégrées au mur.

Ensuite nous avons décidé de visiter le musée de la DDR. Mais voyant la foule et sur conseil du caissier, nous avons décidé de revenir vers 17 heures. Alors nous avons décidé d’aller d’abord dans un coin nommé « east side gallery » où se trouve la section conservée de mur la plus longue. Elle fait 1,4 km. Mais comme une petite averse venait de commencer, nous nous sommes abrités dans la gare d’Alexanderplatz où nous avons profité de manger des Donuts (sauf Catia bien sûr).

Puis nous avons pris le bus. Catia voulant profiter des 1ère places en haut dans le bus à l’impériale pour « voir la ville » nous avons d’abord fait un détour en poussant assez loin vers le sud avant de revenir avec le train S-Bahn.


Le mur sert aux artistes pouf s’exprimer sur le thème de la liberté.


Plaque d’explication


Petit pose devant le mur.

Petit retour en arrière pour se mettre à l’abri car la pluie recommençait. J’en ai profité pour prendre en photo un pont assez spécial pour une voie ferroviaire. Ce pont est posé sur le pont routier qui traverse la rivière.

Après avoir pris une boisson dans un bar et surtout parce que la pluie avait à nouveau cessé, nous sommes revenus en direction du mur.


Photo d’Alice prise par Timo sur une portion encore vierge.


Timo devant Berlin à Berlin.

Comme dernière étape, eh bien le musée de la DDR. Pour une fois, une histoire plus axée sur la vie des habitants de l’Allemagne de l’Est que sur la séparation est-ouest.

IMG_0896 belle attraction dans laquelle Timo s’essaye à conduire une Traban.


Alice apprivoise l’iPhone version 1960.


Au tour de Timo.


Cabine d’essayage dans la reproduction d’une chambre d’adolescent dans l’Allemagne de l’Est.

Berlin, visite avec Elias.

En ce premier jour à Berlin, Elias nous a fait la visiter après ses cours.

Le matin nous sommes allés à Check Point Charlie qui se trouve à seulement 500 mètres de notre hôtel. Nous en avons profité pour visiter deux expositions. Une sur la construction du mur et l’autre présentant une reconstitution photographique grandeur nature d’un segment ce mur.


Traditionnelle photo devant le mur type 75. Le plus efficace.


Avec la photo de Timo on comprend mieux. Arrondi au dessus et pied en L en arrière plan.


Le Check Point Charlie folklorique d’aujourd’hui.


Un petit souvenir de l’expo.

Ensuite nous nous sommes dirigés vers la tour TV pour y grignoter une saucisse (éventuellement au curry) sur la place Alexander envahie par les marchands. C’est que par hasard nous sommes tombé sur Elias qui avait eu la même idée avant notre rencontre.

Nous avons ensuite été au sommet de cette fameuse tour. Alice était déçue de la vue. elle avait encore en tête la spectaculaire vision New-Yorkaise, ce que les plates villes européennes n’arrivent pas à égaler. Elles était de l’avis qu’ils auraient dû construire cette tour plus basse afin de donner un meilleur contraste des immeubles adjacents.

J’ai essayé de prendre des photos différentes que celles qu’Elias a déjà posté. Mais c’était un peu difficile vu que j’avais oublié de remettre la pile dans l’appareil photo après la charge. Ce sont donc des vues « iPhone ».


Je dois donner raison à Alice. On dirait une ville miniature.

Etape suivante proposée par Catia et encore pas testée par Elias, le circuit en bateau sur la Spree. En avant donc pour une heure d’explications sur l’histoire berlinoise située à gauche et à droite de la rivière.


Il y a des écluses à Berlin! Différence 1,6 m.


Le plus ancien pont d’origine en ville.

Puis nous grimpé les 285 marches de la colonne de la victoire (Siegessäule) déplacée en 1939 par Hitler pour qu’il y puisse faire ses parades militaires. C’est ce qui la sauvée de la destruction. Elle était placée dans un endroit sans bâtiment au alentours.


Petit clin d’œil à la photo de la statue de la Liberté. Ici on voit aussi sous les jupes des filles.


La statue est recouverte de feuilles d’or. Ce qui apparement, ne plaisait pas à la guide du bateau. Elle en a sûrement payé une partie avec ses impôts.

Dernière étape, les vestiges d’une église détruite durant la 2ème guerre et aussi photographiée par Elias. J’ai trouvé assez moche le clocher moderne construit juste à coté. Nous avons aussi essayé d’aller au Biergarten, mais un vendredi à 19h00, n’est pas une bonne idée, vue la file d’attente devant les ascenseurs.


Google. Comme ça, ça paraît OK. Mais depuis le bas, c’est autre chose.

Donc nous sommes allés à la cantine du « Kaufhaus des Westens« . Cantine un mot un peu fort, puisqu’ils servent du champagne en bouteille (aussi en en 2 dl) sur lit de glace dans un saut. Mais cela reste le style cafétéria, le tout au dernier étage avec vue sur le quartier. À 21h00, nous avons pris le U3 et en même salué Elias qui rejoignait Allison pour une soirée. Nous le verrons à nouveau dimanche.

Berlin, la famille au complet.

Nous sommes arrivés à Berlin à 17h30, juste au moment où les premières gouttes de pluie de l’orage qui passait sur la ville ont commencé à tomber. Nous avons juste eu la chance d’atteindre l’abris du tram avant d’être complètement trempés par la grosse pluie et de sortir du métro après son passage.

A 19h30, nous avons rejoint Elias à l’adresse d’un restaurant japonais qu’il nous avait donné. Nous avons dû attendre 20 minutes avant de pouvoir avoir une table, mais cela valait la peine.

Ensuite nous nous sommes promenés avec Elias qui nous a guidé dans Berlin. D’abord via la tour de la télévision puis en direction de la gare centrale via les berges de la rivière « Spree ». Nous sommes retournés à l’hôtel à 23h30.

Voici quelques impressions ci-dessous.


Tout d’abord un petit selfie à la tombée de la nuit.


La tour de la télévision.


L’église Ste Marie.


Un bâtiment non encore identifié par Elias.
Remarquez le vol des étourneaux.


Coucher de soleil sur l’île aux musées.


Le long de la rivière nous avons traversé un bal champêtre. Il y a beaucoup de personnes qui profitent soit des bars, soit des bancs pour discuter éventuellement une bière à la main.

IMG_0852 vidéo d’un feu d’artifice tiré en pleine ville pour un anniversaire. Nous pensons que l’heureuse ou l’heureux élu se trouvait sur la terrasse du restaurant se trouvant en face. Il faut en avoir de l’argent pour 5 minutes de spectacle.

IMG_0863 vidéo d’un spectacle image, son et lumière projeté en à travers la rivière sur les façades se trouvant en face du siège du gouvernement.


Le siège du gouvernement.

Amsterdam, ville des canaux.

Aujourd’hui nous revoilà piétons. Nous avons profité d’un joli début de matinée pour aller déjeuner dans un bistro qui faisait plaisir à Catia. Rien que des choses saines, de la détox et de l' »organic ». Ce qui veut dire bio. Ensuite nous avons été rendre le vélo de Timo, mais avec une nouvelle variante. Catia a pris le vélo et nous avons pris le tram. Ainsi  pas de stress.

Puis nous sommes allés au centre ville. Il a fallu d’abord expliquer aux enfants pourquoi certaines rues des dames habillées de porte-jarretelles et en soutien-gorge se tenaient derrière des vitrines.


Dans la rue commerçante, regardez la première entrée à droite.


En y pénétrant, vous y trouverez une église. (Non ce n’étaient pas les vitrines…)


On se croirait en Chine. Mais il existe également un « Chinatown » à Amsterdam. C’est rigolo de voir le nom des rues écrites en signes.


Le deuxième plus vieux édifice de la ville. Il servait d’abord de tour de garde intégrée dans l’enceinte puis de poids public.

Nous sommes également passés dans le centre pour essayer de prendre en vidéo le chaos organisé qui avait choqué Alice hier. Voici la vidéo. Elle reflète une partie de l’équation. IMG_0843

L’après-midi, nous avons profité d’une ballade sur les canaux de la ville. J’ai pas pris beaucoup de photos de la vile.


Un pont nouveau.


un pont ancien.


Encore une maison penchée. Je me demande comment sont les planchers des appartements.

Voici une vidéo qui montre que certaines portions des canaux sont aussi des autoroutes. IMG_3242

Ensuite, comme nous avions une envie pressante, nous nous sommes arrêtés dans une jolie taverne nommée « café aepjen » qui veut dire singe. D’après la légende, un homme n’ayant pas les moyens de payer avait promis au patron de lui rapporter un singe de son prochain voyage dans les colonies. Ce qu’il fit. C’est ainsi que l’on dit à présent payer en monnaie de singe. J’y ai bu une bière de singe.


Vue Google de l’intérieur.

Avec Timo, nous sommes allés dans le clocher de la plus vieille bâtisse et également église d’Amsterdam. La vue était intéressante et les escaliers raides à souhait.


À la montée.


Le carillon ancien.


La plateforme. On voit le temps changer.


Une vue sur cette ville plate.


La descente.

Puis, nous avions à nouveau une envie pressante. Pour casser le cercle vicieux de boire pour aller p….r, nous nous sommes rendus dans un grand magasin. C’est ainsi que je me suis retrouvé à poireauter une heure devant le Primark d’Amsterdam pour que Timo et Alice puissent faire des emplettes.

C’est là qu’il s’est mis à pleuvoir (vraiment) pour la première fois des vacances. Nous n’étions pas vraiment prêts à ce scénario. Ainsi, nous sommes rentrés en short et t-shirt, sans veste et sans parapluie en direction de l’hôtel.

Demain, journée de transition avec le parcours en train le plus du périple. 6 heures de train entre Amsterdam et Berlin.

Amsterdam, ville des vélos.

Mardi 1er août, jour de fête nationale suisse, nous avons roulé en vélo dans la ville d’Amsterdam. J’avais terminé mon précédent article par aïe, aïe, aïe en parlant du vélo. Catia en pense autant après avoir hier parcouru cette ville sur sa petite reine. Mais là, elle fait référence à son postérieur qui se rappelle encore de la selle.

Tout à commencé le 31 au soir, lorsque nous avons réservé trois vélos à l’hôtel. Si on compte bien, il en manque un, celui de Timo qui n’en avait pas trouvé à sa taille. L’employé avec gentillesse, nous a communiqué l’adresse d’un magasin de location se trouvant à 600 mètres pour y aller tôt le matin suivant.

Nous voilà donc partis en ce 1er août fringuants chevaliers sur nos montures… et Timo qui court à coté car il ne voulait pas se mettre à califourchon sur mon porte-bagages. Arrivés au magasin, pas de vélo à la taille de Timo, mais une nouvelle adresse d’une autre succursale plus au centre de la ville.

Timo se trouve à ce moment là au trente-sixième dessous ne se voyant pas encore courir quelques kilomètres. Nous optons donc pour la solution du tram puisque le porte-bagages ne convient toujours pas. Il le prend, nous le suivons, et nous nous retrouvons tous à l’arrêt du musée… Cela aurait été trop simple.

Timo embarque donc dans le tram 24 (qui passe aussi à l’arrêt du 5) et nous commençons à le suivre. Malgré les feux rouges, les rues dédiées au tram et les rues en travaux, nous arrivons quand même, dans une course poursuite, à le suivre…. sauf que ce tram ne passe pas par le musée, c’est le 5 qui y va. Timo donc concentré sur la lecture des arrêts ne voit pas les signes que nous lui faisons à travers la vitre… heureusement, un couple se trouvant dans le tram voyant notre manège informe Timo qui débarque à un arrêt dont nous n’avons pas retenu le nom… et là, miracle. En face de l’arrêt un magasin de location de vélos qui a la bonne taille.

Nous voilà donc à présent tous partis à l’assaut de la ville en passant par les petites rues entrecoupées de canaux. Et nous en avons fait des kilomètres avec un soleil généreux.

Tout d’abord dans LE parc de la ville. Celui où tout le monde vient (type Central Parc).

Pendant le repas, j’ai profité de prendre en photo ce que les locaux utilisent pour se déplacer avec leur classe.

Puis pour aller admirer les bâtiments abritant le musée Van Gogh. Puis pour qu’Alice puisse s’assoir sur le banc filmé dans « nos étoiles contraires ». Coin apparemment connu et prisé.

Puis pour aller voir le shop du jardin botanique (Catia cherchait une loupe botanique). Puis pour aller voir un moulin à vent. Dommage que l’on ne pouvait pas le visiter. Mais la photo ci-dessous est prise du bar où nous avons pris une boisson,

Et enfin s’arrêter devant la maison d’Ann Frank devant laquelle à 17 heures s’étirait encore une longue, longue file d’attente. Pour ceci, nous avons dû transiter par la gare centrale, ce qui a traumatisé Alice. J’essayerai de prendre une petite vidéo de la furie ambiante lorsqu’à une heure de pointe, piétons, vélos et voiture cohabitent.

Nous sommes retournés ensuite à l’hôtel. Au repas du soir, nous étions tous éteints après ces dizaines de kilomètres de vélo. Mais quel bon souvenir.

Nouvelle classe.

31.07.2017

Comme le module de cours a pris fin vendredi passé, les classes ont changé. Dans ma nouvelle classe, le niveau général semble un peu plus bas, étant donné que beaucoup d’élèves sont arrivés du cours B1. La prof est sympa et elle apprend bien mais elle donne beaucoup de devoirs.

Tourisme maintenant! Je me suis rendu à Potsdamer Platz, où se trouve l’impressionante tour de la DB, pour voir « Valérian », le nouveau film de Luc Besson. J’ai été le voir dans le Sony Center qui est un complexe plutôt impressionnant, comportant une coupole de verre et de métal. J’ai trouvé le film très divertissant et visuellement agréable, je vous le recommande donc. Je vous laisse apprécier l’endroit à travers quelques photos.