Le Ring.

N’en déplaise à Francine, nous sommes enfin allés au centre de Vienne aujourd’hui. Nous avons vu le Ring en long et en large. D’abord avec le tram historique et un commentaire audio en français pour repérer les lieux, puis à pied sur environ les 3/4 et enfin après fait un détour par l’immeuble « Hundertwasser » et à ce moment là, perdu encore les enfants, par tram normal pour revoir une fois certains bâtiments et statues impressionnants.

C’est un court résumé qui ne donne aucune dimension au temps. Pour mémoire, le temps passé dans la région de l’hôtel de ville était d’environ 2 heures.


La plus vieille église (Romane) de Vienne.


Mémorial pour ne pas oublier les horreurs de la 2ème guerre mondiale.


Petit détour dans la 2ème plus grande église (votive) de Vienne.


Une église dans l’église.


Les panneaux viennois toujours aussi marrants.


Catia qui porte aujourd’hui les chaussures d’Alice.


Tous les soirs, la ville de Vienne organise un événement. Ce soir, c’est une retransmission du concert de Jamiroquai à Montreux en 2003.


Et à coté de quoi se rafraîchir et se sustenter.


Raison de la photo sur WhatsApp.


L^hôtel de ville de Vienne. De quoi avoir envie de devenir maire. A quand un bâtiment digne de Le Flon?

Et je vous assure que je n’ai pas pris en photo tous les beaux et imposants bâtiments du Ring. Il y en a trop. Juste le Hilton;

Petit arrêt au Sacher pour leur tourte. Bien vendue, mais tellement chic !


Il fallait bien avoir une photo de Timo sur la banquette moelleuse. (Et ne pas faire comme les japonais a coté, et hop une petite photo rapide de la salle avec les gens assis en face. Et hop j’ouvre vite le menu pour cacher le téléphone portable.)


Les étoiles façon viennoise.


Et bien sûr le maître de la musique viennoise. Celui pour lequel on s’arrache les billets du nouvel-an.

Dans un autre domaine, quelques photos de l’immeuble construit par la ville de Viene en collaboration avec le peintre « Hundertwasser ».

En entrant dans la cour intérieure du « village Hundertwasser » je me suis rappelé qu’il y a bien longtemps, nous avions pris des photos Catia et moi ici. Il suffit juste de remettre la main dessus. A l’époque ce n’était pas digital.

Et un petit selfie sans en avoir l’air;

Pour l’anecdote, vu sur mon iPhone alors que je cherchais un wifi gratuit. Et ce n’est pas notre Alice qui à nommé sont téléphone comme ça;

Demain 1er août nous serons au Musikverein pour écouter un concert de Mozart. Donc pas de blog le soir même.

Le Prater.

Aujourd’hui n’en déplaise à Francine, nous sommes allés au Prater faire un tour. Après le petit-déjeuner pris assez tard (10h00), direction le célèbre parc d’attraction.

Le temps passe vite lorsque vous visitez le parc en petit train, puis à pied pour repérer de visu les attractions que vous aimeriez faire.

Nous nous sommes d’abord décidés pour le windobona en famille. Cela vaut son prix, mais personne n’a regretté les quelques minutes passées à voler après la théorie. Elias s’est distingué en remplissant tous les critères du diplôme. Cela a permis à notre instructrice de placer un peu de pub pour nous inciter à revenir.

Je ne résiste pas à vous montrer les photos « en l’air ». Catia n’y apparaît malheureusement pas car elle a laissé sont 2ème tour à Elias.

Puis les enfants sont allés sur les balançoires, celles qui montent à 93 mètres à la Prater Turm. Après un tour, il m’ont entraîné tellement ils avaient envie d’y retourner. Il est vrai que la vue est belle de là-haut. Dommage que l’on ne puisse y prendre son iPhone. Mais c’est préférable que de le retrouver à 200 mètres plus loin sur la tête d’une personne.

Ensuite un petit tour sur le « Wild Alpenbahn » qui leur a rafraîchi les idées avec quelques éclaboussures d’eau.

Et pour finir un tour sur la grande roue (Riesenrad). Dernier clin d’œil à James Bond.

Le porte-monnaie en a pris un coup, mais c’était une bonne journée.

Après cela, pour faire plaisir à Catia et surtout parce que c’était gratuit, nous sommes allés à l’Arsenal. Un quartier d’anciennes usines qui est en train d’être réhabilité en logements et dont les anciens entrepôts accueillent actuellement le Impulstanz. (Des cours de danse quoi). Et on peut regarder. Alors on s’est partagé les tâches, Catia regarde et nous on va prendre un verre à la buvette.

Un panneau qui en regard de la canicule m’a fait hurler de rire.

Le soir, Elias a choisi un bistrot de quartier sympa et vraiment pas touristique. Le Gasthaus Engelhart et c’est là que l’on se rend vraiment compte des différences linguistiques. Catia qui utilisait le mot « Poulet » au lieu de « Hühner » et le mot sur la carte « Eierschwammerln » qui veut dire en français champignons selon Catia. Elle a oublié de préciser chanterelles. Elles sont rissolées avec de l’oignon et passées dans l’œuf, servies avec des patates persillées.


ça n’a l’air de rien, mais c’est bon.

James Bond me voilà.

Cette fois c’est fait, j’ai retrouvé le bâtiment que je recherchais. Non sans mal. Il ne faut pas confondre Staat et Volk, ni Theater et Oper. Mais bon après être arrivé au Volkstheater et avoir eu le choc de ma vie car le bâtiment ne correspondait ni de près ni de loin. J’ai compris qu’il fallait aller à l’Oper qui se trouvait plus au nord.

Mais le voilà et j’ai contrôlé, c’est le bon. Coincé entre les autres bâtiments du quartier, il n’a l’air de rien comparé à l’impression donné dans le film. Et ces b**** ont peint son nom sur le mur pour être sûrs qu’on le reconnaisse.


Et l’arbre qui se trouve devant a bien grandi depuis.

Ensuite nous sommes allés plus au nord voir l’ancien dépôt des trams qui a également servi de décor lors de la scène où Bond contrôle le contenu de l’étui à violoncelle.

Ma foi un beau bâtiment qui sert d’un côté d’école de musique, de l’autre de supermarché.

Suite à quoi, nous sommes allés encore plus au nord dans un jardin à bière (Biergarten) pour nous désaltérer. Car il faut chaud, aussi chaud qu’à Porsel ou Francourt. Et c’est que nous avons constaté qu’il fallait environ 40′ en tram et métro pour retourner jusqu’au point de départ.

Une petite trotte. Avec Timo seulement car les deux autres avaient à nouveau décidé de rester à l’appartement. Timo lui avait appris que sans iPhone, c’est ch**** de rester seul.

Sur le trajet, nous avons aussi vu des particularités qui n’ont rien avoir avec Bond.

Par exemple, la façon de vendre les journaux du dimanche.


Accroché à un réverbère un sac plastic avec les journaux et dessus un réceptacle à monnaie. Le tout cadenassé.


Dans la cour intérieur d’un immeuble (ou sur la façade ci-dessous), une plaque commémorative expliquant que celui-ci avait été construit par la commune pour le peuple. Des logements subventionnés quoi.

Avant de faire cette excursion, nous étions allés manger au Silberwirt un très bon restaurant et bien sûr dans le jardin se trouvant dans la cour intérieure. Personnel aimable, schnitzels délicieux.

Le soir sortie en famille dans la rue piétonne qui se trouve à 50 mètres de l’appartement et va jusqu’à la gare centrale. Le quartier est majoritairement turque donc nous nous sommes arrêtés dans un de leurs restaurants. Et balade digestive jusqu’à la gare. Quelques photos de bâtiments.

Et cette fois aucune consigne sur la porte de l’appartement.

Une chaleur étouffante.

Ici nous avons vécu une journée d’enfer suite à la chaleur ressentie (env. 34 degrés). C’est une des raisons pour lesquelles nous avons perdus les enfants vers 15 heures. Ils ont décidé de rentrer à l’appartement et de nous laisser continuer à visiter Bratislava seuls. Et ce n’est pas les nuages qui paraissent prometteurs qui nous ont rafraîchit avec trois gouttes.

Le matin, Catia avait eu une idée. Il aurait fallu peindre le mur en face de notre arrêt de bus pour attirer le touriste. Je lui ai conseillé de soumettre son idée à la ville de Bratislava. La photo, je l’ai pas prise pour le mur, elle est sensée montrer quelques immeubles qui seront bientôt rejoints par d’autres en construction.

Le bus nous l’avons pris pour aller revoir un monument que nous avions visité en 1991 lors de notre premier passage. Il a été construit par les russes pour commémorer les quelques 7’000 soldats tombés en 45 lors que la reconquête de la Tchécoslovaquie. Il y avait tellement peu de visiteurs que j’ai pu prendre plein de photos sans personnes. Sur une ou deux, je me suis fait plaisir et vous verrez les enfants en petit. En voyant ce lieu désert, je me demande si c’est encore un lieu que les slovaques n’apprécient pas en raison de sa connotation.


une rare pierre tombale avec une photo.



Sur demande de Timo.


Vue sur le château que nous avons visité ensuite. Nous avons pris pour cela un petit bus 15 places avec un chauffeur sympa qui en nous voyant attendant bêtement à cet arrêt sur demande, nous a fait un petit signe avec les deux mains (donc en lâchant le volant) pour savoir si nous voulions monter. Le bus portes ouvertes pour avoir un peut d’air et une musique qu’Elias a qualifiée de « débile » a parcouru les rues résidentielles de cette colline pour nous amener près du palais présidentiel.


une deuxième bus de ligne nous a déposé au pied du château. Celui-ci n’offrait rien de particulier à part une petite visite d’un musée. Donc, nous en avons fait le tour et j’ai pris quelques photos.


Beaux jardins, mais bon c’est pas ma tasse de thé.

Ensuite descente sur la ville pour d’abord boire quelque chose, car gosier sec. Alice n’était pas très contente du choix de la terrasse. Donc, je lui ai laissé le soin de choisir la terrasse pour le repas. (Il était presque déjà deux heures). Intéressant de voir comme c’est difficile de choisir lorsqu’il y a plusieurs bistrots les uns à coté des autres. Donc Alice à laissé le choix à Elias; « parce que bon, ça commence à bien faire, si c’était moi, il y a longtemps qu’on serait assis ».

Puis nous avons tenté le Glacier Luculus et nous avons eu de la chance car l’attente était de deux minutes et les saveurs spécifiques et très bonnes. C’est à ce moment là que nous avons perdu les enfants. L’estomac comblé, plus d’attentes particulières. Donc, ils sont rentrés pendant que nous allions voir une église spéciale.


peinte en bleue avec quelques mosaïques.

La cure en couleur assortie.

Malheureusement elle n’était ouverte que depuis 17h30, ce qui faisait trop à attendre. Donc j’ai proposé à Catia de trianguler en tram (que nous n’avions pas encore utilisés) pour visiter différents quartiers. Chaque fois que nous voyions quelque chose qui pouvait nous intéresser, nous sommes descendus et avons repris le suivant ou celui d’après. Cela à l’air de rien, mais le temps passe vite.


C’est la première fois que je voyais un banc solaire. Avec possibilité de recharge pour téléphones mobiles. Actuellement aucun soucis de fonctionnement avec l’ensoleillement.

Donc, les enfants ne voulant plus sortir, Catia a eu l’idée d’acheter à l’emporter au Krumpla un restaurant traiteur ayant ouvert il y a à peine deux semaines et dont la spécialité est de farcir des patates (ou 1/2 patates) avec différentes farces. Catia en a choisi 5 différentes (saumon, porc au bbq, canard, verdure, champignons) et nous avons partagé. Heureusement qu’elle a pris les 1/2 parce que si c’est bon, cela suffit largement.

Pour terminer, je n’ai pas trouvé les endroits du James Bond pour la bonne raison qu’internet indique que tous ces endroits se trouvent à Vienne. Donc ce sera un de mes buts dès demain. Trouver l’opéra, la rue de l’appartement ainsi que le dépôt des trams.

Et surtout de convaincre Catia que dépenser un petit peu plus pour se trouver bien placés dans la salle du Musikverein c’est bien. (Même si ce n’est pas le concert du nouvel an.)

J’allais oublier cette petite question; c’est moi qui suis parano ou bien? Lorsque je lis ce genre de mot sur la porte de l’appartement, j’ai l’impression que de me faire engueuler. Je trouve qu’on aime bien le touriste ici. Même si le gars qui nous a accueilli était très sympa et nous a expliqué pas mal de trucs en ville. A Salzburg, il y avait quelque chose de similaire.

Bratislava est plus belle que Prague.

C’est mon fils Elias qui le dit. Non seulement, le centre historique est bien entretenu et mis en valeur, mais les quartiers adjacents sont neufs et bien construits. En plus le centre commercial abrite plus de marques connues et recherchées qu’à Prague.

Bon la dernière affirmation ne concerne que la nouvelle génération. Pour moi, il y a bien trop de vendeurs de chiffons qui se côtoient dans ces endroits. Pour des prix soit déraisonnables, soit pour des prix qui expliquent pourquoi on paie les enfants très peu dans les pays en voie de développement.

Ce centre nommé « Au parc » est vraiment grand. On a communiqué par WhatsApp pour savoir qui est où. C’est l’avantage d’avoir du Wifi gratuit.

Après cette phase, nous avons profité d’aller jeter un coup d’oeil dans la vieille ville. Et de manger dans un bistrot installé dans une cour intérieur de bâtiments qu’on pourrait croire à l’abandon. Un chat s’y trouve ici chez lui.

Quelques autres ruelles plus ou moins rénovées et

fréquentées.

En arrivant sur la place principale, j’ai cru reconnaître le théâtre utilisé dans le film de James Bond « tuer n’est pas jouer ». Mais en regardant à nouveau la scène, je m’aperçois que ce n’est pas le bon bâtiment. Donc, il faudra que je regarde à nouveau.

Sur cette même place, un système de refroidissement utilisé principalement par les enfants. Timo en fait la démonstration.

Et surtout un glacier « Luculus », le seul où les gens font la queue pour acheter un cornet. Il faudra que l’on essaye demain.

Pour Hyancinthe, voici un train qui avait du retard. 15′ à l’arrivée à Bratislava. Je trouve le système d’information et de suivi des trains en Tchéquie et en Slovaquie aussi bon qu’en Suisse.

Pour finir une petite considération sur les appartements.

A Prague, sous les toits, il fallait choisir entre avoir de l’air frais ou ne pas avoir les bruits extérieurs. La seule nuit où Catia à choisi de fermer la fenêtre, j’ai tellement transpiré que je n’ai pas pratiquement pas pu dormir de la nuit. Ici à Bratislava, il y a un climatiseur.

A Prague, je l’ai déjà dit, 6 étages par les escaliers. Ici plus que 3 étages. Je n’ose imaginer Vienne. Peut-être seront nous au sous-sol.

A Prague, après 4 jours, nous avons pu connaître un tout petit peu nos voisins. Celui du 3ème qui laissait toujours sa porte d’entrée ouverte pour capter la fraicheur des escaliers et qui s’asseyait dans son couloir d’entrée, des fois avec un copain pour discuter et jeter un discret coup d’œil lorsque nous passions. Notre voisin de palier qui descendait régulièrement au demi-niveau pour fumer discrètement sa cigarette par l’entrebâillement de la fenêtre en laissant ses cendres et ses mégots dans une boîte de conserve.

L’art d’être pingre.

Un titre un peu osé, mais tiré d’un échange avec Elias. Je lui faisait remarquer que je préférerais pour notre dernier soir manger dans un vrai restaurant tchèque. Un truc de quartier pas cher et authentique. Et que cela m’embêtais de dépenser entre 3 et 400 couronnes par plat sur la superbe et mondaine terrasse du Grill se trouvant au pied de la tour de la télévision. C’est là qu’il me répond; 400 couronnes cela ne fait que 18 francs suisses. Le soir chez nous on mange pour plus que ça.

Une manière élégante de me dire combien je deviens pingre. Mais j’ai tenu bon et nous sommes allés au restaurant Poja dans notre rue. Pour 1’000 couronnes (9 francs par personne), nous avons mangé du vraiment tchèque bon et simple.

Je reviens un peu plus en avant. Ce matin, nous sommes allés comme promis par cette chaleur presque étouffante dans un parc aquatique au sud de Prague. Il faut prendre le métro jusqu’à l’avant-dernier arrêt, puis prendre un bus qui nous amène dans la ville voisine en 10 Minutes. Nous avons passé là trois heures de bonheur au frais dans l’eau. Les enfants ont profité des toboggans. Moi un peu moins, au 3ème (celui des sportifs), je me suis rappelé pourquoi je n’y allais plus très souvent. Les yeux qui roulent dans les orbites, l’estomac sans-dessus-dessous à l’arrivée. Voilà la raison.

Mais il y avait aussi plusieurs piscines, donc pour tous les goûts. Et pas de photos, car avec l’eau prudence et surtout pas de problèmes de mœurs parce que prendre des photos avec la foule (en costume de bain), c’est toujours risqué.

De retour à Prague, d’abord acheter les billets pour aller demain à Bratislava. Puis en route vers l’hôtel dansant (en raisons de sa forme). Et sur la terrasse petit apéro pour se réhydrater.

Puis sur la route du mur peint, un petit arrêt près du premier hôtel totalement durable de Prague. Et ses statues posées dans la rue y accédant.

Sous les champignons, des bancs et un accès internet gratuit offert par l’hôtel.

Puis direction le Mur John Lennon.

J’ai renoncé à faire des photos cadrées, car graffitis et touristes. Donc du brut;

Une petite dernière pour la route (sans commentaire) 😉

Puis en dernier, nous sommes allés à la tour de la télévision, primée par CNN et un média asiatique en tête des plus moches bâtiments dans le monde. Cette tour se trouve aussi dans le top 10 et 20 de deux autres classements de guides touristiques. Elle n’est pas la plus haute.

Il paraît que les praguois se demandent pourquoi les touristes la visitent ? Ben pour la vue bien sûr…

C’est là qu’on se rend compte que les quartiers d’immeubles possèdent des jardins intérieurs. D’ailleurs on les retrouve aussi dans certains bistrots qui ne paient pas de mine.

La tour fut donc construite entre 1985 et 1992. Donc, elle est d’air soviétique et selon certaines rumeurs devait servir à brouiller les ondes de l’ouest. D’après la version officielle pour arroser de TV et de radio Prague.

Vue maquette. Au 1er étage se trouvent un bar, un restaurant aussi chic que le terrasse du bas et une unique chambre d’hôtel. Le point de vue se trouve au deuxième étage. Le troisième est toujours occupé pour les relais TV et GSM-P. La plateforme au dessus n’est pas accessible au public ;

Vue du dessous.

Pour terminer une photo demandée par Francine;

Et une réponse à Wendy. Je pense qu’une visite en novembre à Prague assurera une certaine tranquillité dans les endroits touristiques.

J’y pense et puis j’oublie.

Dans la série des choses auxquelles je pense après avoir écrit ;

Hier nous sommes aussi allés visiter le musée « Apple ». Musée qui concentre pratiquement tous les modèles produits par l’entreprise depuis son début dans une cave californienne. Si je l’ai oublié c’est probablement parce que le show était assez statique. Quand je pense au génie Steve Jobs, je trouve que donner des explications écrites via le safari d’un iPhone ne relève pas vraiment de l’exploit ! Par contre nostalgie, nostalgie de voir le 1er modèle que j’avais acheté (et les suivants aussi).

Le graal version 2018.

A présent lorsqu’on est en vacances avec des ados, il faut aussi penser à leurs centres d’intérêt. C’est ainsi que nous avons fait quelques magasins à Prague avant de trouver ceci.

Il faut croire que toutes les praguoises chaussent du 37. Car ce n’est que dans le dernier foot locker que nous avons déniché du 37 1/2. Partout ailleurs c’était « désolé » il ne nous reste que du 39.

Enfin bon, la journée ne s’est pas résumée qu’à ça, nous sommes allés également pour leur faire plaisir manger au Sakura’s un restaurant « rolling sushis ». Donc un tapis roulant avec plein de petits plats différents à manger et une formule « all you can eat ».

Mais nous avons pu également voir le quartier juif. Sans préjugé aucun, nous n’avons pu voir que les édifices depuis l’extérieur. En effet tout était payant. La synagogue vieille ou nouvelle. Le cimetière, etc.

Enfin l’heure était gratuite.

Puis nous sommes passés sur une place rendant hommage à un étudiant, Jan Palach, s’étant immolé en 1969 en protestation contre le régime en place. A présent des sculptures à sa mémoire y sont posées.

Puis un petit tour en bateau. 45′ pour tourner d’un coté et de l’autre du pont. Et ainsi avoir la confirmation que Charles IV à fondé la ville de Prague. Mais au moins un peu de fraîcheur, car aujourd’hui quelques nuages matinaux ont aidé.

Des brises glace pour protéger le pont, même si aujourd’hui la glace a disparu,

Canal latéral avec un tirant d’eau de 90 cm et un moulin encore en activité.

Après la croisière une petite visite dans le petit musée du pont.

Timo à l’action pour lever la pierre.

Explication sur les diverses manières de construire un revêtement à travers les âges.

Et le fameux Charles IV.

Pour finir une petite photos prise par Elias. (Avec un léger contrejour)

J’allais presque oublier. Ce matin au café Costa une petite fresque sur notre dernière destination.

Les différents visages de Prague.

Sentiment mitigé ce matin lorsque je suis arrivé sur le célèbre pont Charles. Je me suis rendu compte que la Prague que j’avais visitée avec Catia en 1991 avait bien changée. La preuve sur ces photos.

Des touristes, des touristes, toujours des touristes. Triste de se rappeler qu’il y 27 ans, il était difficile de trouver un restaurant juste deux ans après la révolution de velours. Et surtout difficile d’accepter de faire partie de ce cirque.

Il faut le reconnaître, la vieille Prague a bien changé. L’ancien côtoie le nouveau et surtout l’économie de marché. La photo ci-dessous le résume parfaitement.

La tour de la poudrière et une publicité ambulante pour une chaîne internationale.

Mais une fois la vieille ville quittée, je me suis aperçu qu’en définitive les touristes n’étaient pratiquement plus là. C’est qui nous a poussé à aller à la découverte de la Prague nouvelle. Elle s’est signalée par quelques rares immeubles récents plus au sud qui étaient visibles depuis le sommet d’une tour du pont.

Nous avons trouvé ici également un centre commerciale envahi par les enseignes en vogue. Surtout ces immeubles sont construits par « Raiffeisen » / « AXA » / « Novartis » et j’en passe. Tout un autre monde.

Et pour finir, notre quartier. En réalité pas très touristique car situé dans l’ancien bastion communiste. Il semble être plutôt pauvre, même si quelques bistrots branchés y ont fait leur apparition.

L’entrée de notre appartement.

Le couloir montant au 6ème.

Le terrain de foot bordé d’immeubles anciens.

Et la tour de la télévision que l’on voit depuis nos fenêtres le soir.

Pour quelques photos de la visite d’aujourd’hui;

Les toits de l’ancienne ville depuis la tour avec le siège du président de la république en arrière plan.

Une des trente statues du pont Charles.

Un mur sculpté du parlement tchèque.

Un ancien immeuble en forme d’arche. Il sera probablement détruit pour être remplacé par d’autres tours.

Et enfin la photo qui prouve le rapport intime entre les banques et les restaurateurs, un bancomat intégré dans la façade d’un restaurant et ce n’est pas une exception. 🙂

Transfert vers Prague.

Aujourd’hui à nouveau du train et arrivés à l’heure Prague gare centrale. Ceci même si en 2ème partie nous avons utilisé du matériel tchèque semblant sortir du siècle passé.

Catia en a profité pour prendre la pose juste avant le départ du train.

Arrivés à Prague nos avons pris nos quartier dans un appartement situé au dernier étage (6) et sans ascenseur. Ceci nous assure un bon entraînement jusqu’à vendredi.

Ce qui était étrange à Salzburg s’est confirmé à Prague. Il semble que les commerçants dans ces régions ne soient pas familiers avec les cartes de crédit. Il m’a fallu retirer du cash pour payer et ceci est vraiment dommage car ces commerçants sont très certainement de mèche avec les banques et les agents de change. Car pour arriver à faire un cours de un Euro pour CHF 1,30, c’est un peu de l’arnaque. Même chose avec les couronnes. Même si dans ce cas en cherchant un peu, on arrive à trouver des bancomats avec un taux pas trop cher.

Bon les choses sérieuses commencent demain. Ce soir nous avons profité de voir un peu la vieille ville (terrasse et resto).

Une petite précision. Ici il fait chaud (env. 30 degrés) et l’appart (sous le toit) n’a de clim. Donc je m’attend à une nuit terrible. D’ailleurs dans les escaliers tous les locaux étaient torse nu. Même celui qui fumait à la fenêtre entrouverte.

L’arche de Noé !

Cette image symbolise notre journée. (Agrandir pour bien voir la pluie). Par chance, il y avait deux parapluies disponibles dans l’appartement. Ce qui confirme un peu la théorie donnée par un « local »; Tous les deux jours, il pleut à Salzburg.

Il n’a plus qu’une seule fois de la journée. Nous savions que le temps pourrait être instable, mais parfois ce fut le déluge. Cela méritait bien un selfie de bonne humeur.

C’est dans ses moments là qu’on se rend compte de certains détails. Comme par exemple que mes chaussure Nike achetées l’année passée à Berln sont vraiment bien étanches.

Nous nous sommes donc réfugiés dans des lieux couverts pour être de temps en temps à l’abri et avons pris des photos de panoramas dont l’horizon était fait de brume. Cela me rappelle l’excursion de Fabien sur le Moléson.

En redescendant, nous nous sommes arrêtés dans le dôme pour à nouveau être l’abris. Quelque fresques pour Francine.

L’après-midi visite d’une exposition interactive sur la vie de Jésus (titre la bible). A nouveau deux heures de répit à l’abri et des enfants plus intéressés que prévu car occupés à des activités retenant leur attention.

Vers 18 heures la pluie cessa de tomber et c’est nous sommes allés au Château de Hellbrun la résidence d’été des archevêques. (Le matin c’était leur foreteresse.)

Et c’est là que malgré l’absence de pluie nous avons été à nouveau mouillés car la visite s’intitulait « jeux d’eau ». En effet, ces grands coquins avaient installés jets partout pour refroidir l’ardeur de leurs invités, notamment avec des jets qui sortaient des tabourets surlequels les invités se trouvaient pendant le repas.

Voici une haie d’honneur et le jet de la couronne comme exemple.

Les dernières photos de Salzburg « by night », ville que nous quitterons demain pour Prague. Temps annoncé, soleil 29 degrés.

J’allais oublier, cela me rappelle le château de Moulinsart. Je me verrais bien comme le capitaine en « gentleman farmer » ici.

Et puis à Salzburg, ils connaissent aussi les tavillons.

1er jour de vacances.

Vive le 1er jour de vacances. Je l‘attendais depuis longtemps. Mais bon, on a voyagé pas mal. Départ à 8h00 de la maison, puis bus, puis train, train et train.

Au risque de décevoir Hyacinthe, tout c’est passé très bien et À L’HEURE…. La preuve ci-dessous, même si sur le réseau autrichien, le display a montré une ou deux fois un possible retard de 2 MINUTES à l’arrivée à Salzburg.

Avant d’aller plus loin dans ce récis, j’aimerais mettre au point quelque chose. Hyacinthe, tu as accusé les CFF de tous les maux vendredi. Mais en étudiant bien la photo postée sur WhatsApp, je reconnais un train BLS. N’aurais-tu pas plutôt un contentieux avec la commune des Hauts-Geneveys pour qu’ils aiment te voir arpenter leurs quais ?

Je continue sur Salzbourg. Après avoir pris possession de l’appartement,nous sommes allés dans la vieille ville et bien sûr, il n’est pas possible de rater la statue de l’homme le plus célèbre en ces lieux.

Nous étions ici, car Catia penser pouvoir profiter d’un concert gratuit donné près du dôme. Mais comme c’est samedi prochain qu’il aura lieu, nous laisserons d’autres en profiter.

Nous avons donc fait une petite reconnaissance pour le programme de demain. Donc quelques photos sans commentaire ci-dessous.

Et pour finir nous avons mangé au Gasthaus Zwettlers des Schnitzels de porc. Délicieux. Après ça les enfants n’avaient plus faim pour un dessert.

Apparemment encore une mode à Salzbourg. Un pont avec des cadenas.

Et pour finir quelques photos pour Francine, quelques œufs décorés dans une couleur qu’elle apprécie;

 

C’est l’expérience qui parle!

Dernier contrôle avant le départ afin de ne plus reproduire certaines  scènes pénibles lors de notre dernier « trip » en Sicile avec la moitié des billets et la moitié des pièces d’identité.

Lorsqu’on voit les couronnes tchèques, on pourrait penser que je suis riche. En fait, 100 couronnes valent 4,50 francs. Je ne savais pas avant ce voyage que la République tchèque n’utilisait pas, contrairement à la Slovaquie, les Euros.