10 jours sont passés nous repartons avec pleins de souvenirs dans la tête et le cœur. Nous sommes heureux d’avoir tenté ce voyage. Avec une certaine envie d’y revenir pour des endroits encore plus sauvages. À voir.
Le vol partant seulement à 15h25, nous avons profité de la matinée pour faire encore quelques arrêts dans au sud de l’aéroport.
Les sources chaudes de Gunnuhver, nom d’une femme fantôme. Encore une légende. Comme partout en Islande cette eau est captée pour chauffer et produire de l’énergie. Mais il reste toujours un coin en l’état. Si l’eau est chaude, il me semble que le vent est froid lorsque le soleil ne perce pas les nuages.
Le phare de Reykjanes juste à côté. Un plus imposant malgré qu’il soit placé aussi sur une colline.
La ligne de démarcation entre deux plaques tectoniques. Celle de l’Amérique et celle de l’Eurasie. Elles s’écartent de deux centimètres par an. Dans quelques dizaines de milliers d’années, l’Islande sera peut-être séparée en deux.
Catia tient le pont pour qu’il ne tombe pas.Dernier selfie.Preuve qu’on ne rigole pas.Enfin un phare jaune qui ne paie pas de mine àSandgerði.
Nous voilà à l’aéroport pour déposer les bagages et prendre cet avion qui nous ramènera en Suisse. A la prochaine.
Pour cette dernière journée complète sur l’île, nous sommes allés nous baigner dans une rivière d’eau chaude. Cette fois nous étions sûrs qu’elle existait. Nous l’avions vu sur le plan. Pour en profiter nous avons marché 3,5 km en montée.
La météo du jour prévoyait une matinée nuageuse puis un passage de pluie et enfin du soleil dès le milieu de l’après-midi. Cela s’est à peu près passé comme ça. Sauf qu’après 30 minutes de marche une subite averse intense avec soit de gros flocons, soit de petits grêlons s’est invitée. Le temps de mettre la veste coupe-vent, les pantalons étaient trempés. Heureusement elle fut courte mais le vent frais nous rappelait que nous étions mouillés.
Après encore 30 minutes nous étions sur place. Le coin était accueillant et nous n’avons pas eu de peine à nous changer malgré le vent pour mettre un maillot de bain. Quel bonheur d’entrer dans cette eau de rivière tiède-chaude. C’était tellement bien que nous y sommes restés presque une heure. Nous avons juste dû viser une accalmie vent/pluie pour sortie, nous sécher et nous habiller.
Comme nous sommes partis tôt, nous sommes restés seuls avec un autre couple un peu plus avant que les « poursuivants » arrivent 40 minutes plus tard.
Dans le décor Un petit selfie.
Au retour petit arrêt au « petit » parc géothermal de Hveragerði pour voir un geyser forcé il est activé toutes les 20 minutes. Au moment où nous étions à la réception, re-averse intense. Nous étions à l’abris dans une serre. Tous les autres visiteurs sont rentrés précipitamment pour se protéger. Mais cela n’a heureusement duré que quelques minutes.
On s’était placés de chaque côté pour la photo. Vous voyez donc celle de Catia. Je suis de l’autre côté..
Pour être franc, il y a avait plus à voir sur le chemin de randonnée de la rivière chaude que dans ce parc.
Après ce bain direction la lave « fraîche » c’est-à-dire celle qui a coulé entre 2021 et 2023 dans la région de Grindavík, le village qui a été évacué l’année passée. L’accès au village est interdit en raison des risques dus à l’activité volcanique. Pas de photo du barrage possible.
Nous nous sommes parqués à proximité et avons marché sur la crête d’une montagne pour voir les coulées de lave. Si nous avions trouvé la carte des points de vue sur internet, nous aurions pu nous organiser pour aller jusqu’à un endroit où la lave est encore orange car chaude. Du moins selon les dires d’un québécois croisé sur place. Longueur du trajet en simple 9,5 km. Donc toute la journée. Mais bon, de voir la lave plus ancienne était aussi intéressant.
Depuis le haut.Depuis le bas.
Nous sommes à présent de retour à Reykjavik pour notre dernière nuit sur place. Demain encore une petite excursion sur la pointe sud près de l’aéroport avant de reprendre l’avion.
Aujourd’hui encore un autre type de visite. Des (petites) grottes et une cathédrale.
Mais nous avons commencé notre journée en grimpant sur le mont Reynisfjall près de Vik. Une petite ballade de deux heures avec de très jolis points de vue.
Le grand village de Vik. D’après Wikipédia il ne compte que 291 habitants. Mais est un centre de service pour les habitants de la région.Selon la légende islandaise, il s’agirait de trolls qui ont été transformés en pierre par le soleil.
Au pied de ce mont en face des « trolls » se trouve une grotte (cave) que nous n’avons pas visitée parce que le parking coûtait CHF 6.50. Dans le sud, ils ont pris la sale habitude de te faire payer à chaque arrêt le parking. Dans une journée cela peut facilement monter à 30-35 francs. Mais si vous tapez « Hálsanefshellir » sur Google vous y verrez des photos.
Un petit bouquet pour Francine.À l’œil nu on distingue bien mieux tous les oiseaux qui nichent dans la falaise. Ce matin, sur la plage, nous avons (pensons avoir) vu un Puffin, oiseau emblématique de l’Islande. Mais pas de photo car encore plus invisible.C’est fou, on distingue presque mieux les arches de Dyrhólaey à cette distance que lorsqu’on y était hier. A noter qu’elles re représentent le point le plus au sud de l’Islande.
Ensuite nous voulions aller voir l’épave d’avion qui se trouve sur la plage de sable noir. Ici bien que le parking soit payant, ce sont les 3 à 4 heures de marche annoncés pour l’aller-retour qui nous ont freiné. Cela nous aurait bloqué le reste de la journée.
Catia s’est donc rattrapée sur les grottes avec celles de Rútshellir et Steinahellir. Il faut voir quelque chose de petit et qui permettait de mettre du foin à l’abris.
L’entrée de RútshellirVue de la partie en boisLa grotte elle-même.
Ensuite direction de la cathédrale de Skálholt. En Europe il y a en principe une ville autour. Ici seulement un hôtel planté au milieu de nulle part. Mais bon, la décoration intérieure était vraiment bien.
Avec le soleil, supers vitraux et belle fresque de Jésus dans le fond.Vue extérieure Sur le côté, une maison typique de l’Islande (restaurée)
Pour arriver ici, nous sommes passés sur le plus beau pont à voie unique d’Islande.
On se croirait en Amérique n’est-ce pas?
Nous préparons à présent le programme des deux derniers jours.
La dernière. Des fois on se pose la question de ce qui se passe dans la tête des gens. 🙂
Ce matin belle pluie pour démarrer la journée. Ce n’était pas très réjouissant. Il ne restait qu’à espérer que la météo prévue se réalise. Ce fut heureusement le cas. Vers 10h passage à un temps nuageux mais sec. Le soleil a même percé en milieu d’après-midi. Cela nous a permis de réaliser le programme prévu avec trois marches de 1 à 2 heures chacune.
Sur la route pour prendre en photo un panneau particulier que l’on voit régulièrement sur les routes secondaires ou tercières? Il indique les adresses des maisons sur le périmètre. Chaque route ou chemin à un nom. Il faut que l’on pourrait se croire quelques fois en Amérique. Longs tronçon routiers avec à peine quelques constructions.
Lorsqu’il y a une ou deux maisons, les boîtes à lettres se trouvent également au début du chemin.
Seljalandsfoss
Le seul endroit sans marché ou à peine 500 mètres. Encore deux chutes d’eau dont une particulière puisqu’on peut passer derrière. Mais bon, cela a son prix. On craint la pluie et ce sont les embruns de la chute poussés par le vent qui vous touchent. Résultat, les souliers et malheureusement les pieds un peu mouillés. Par contre la veste et le pantalon coupe-vent ont bien fonctionné.
Avant d’être mouillé.L’autre chute cachée derrière des rochers.
Skógafoss
Nom de la première et la plus haute chute d’eau de la série que l’on voit sur les presque 4 km de marche. Le plus drôle est que j’ai oublié de la prendre en photo au retour de notre marche. Le trajet nous a permis d’en voir 9 plus ou moins importantes. Je ne mettrai que deux d’entre-elles.
L’avant-dernière vue lors de notre marche du nom de Skálabrekkufoss. Les plus attentifs auront remarqué que le nom de toutes les chutes d’eau finissent par « foss ». CQFD.Une double chute d’eau
Sólheimajökull
Pour changer et après des volcans (éteint), des chutes d’eau, des coulées de lave, des geysers et sources d’eau chaude, voici un glacier qui malheureusement fond, fond et fond comme chez nous. Il recule de plusieurs dizaines de mètres par année.
Sans le savoir, j’ai pris cette photo à l’endroit où se trouvait le glacier en 1997. Il a reculé de 670 mètres depuis.Nous sommes allés le plus loin possible par rapport à notre équipement. Après c’est glissant et il y a de crevasses.
Dyrhólaey – Headland
Dernier arrêt près d’un phare à nouveau pas très haut parce qu’à nouveau sur une haute colline pour voir une arche dans la mer. Nous avons marché jusqu’à une plage de sable noir qui n’était pas accessible car dangereuse selon le type de vagues.
Derrière le phare on voit la montagne d’où part le glacier qui fond.Une photo prise par une touriste indienne qui a le sens de la mise en scène.
Ce soir nous dormons à Vik, ville la plus au sud de notre périple. Demain nous commençons le retour en deux jours direction Reykjavik.
Une dernière photo. Si je n’ai pas pris la grande chute, c’est que depuis la plateforme mon regard a été attiré par la verdure des prés de la ferme se trouvant juste à côté. C’est assez rare à cette saison. Les autres commencent à peine à laisser le jaune derrière elles.
Dans cette exploitation des vaches et des moutons. On voit aussi beaucoup de chevaux. Comme tout le monde ne fait pas de l’équitation, on peut se demander à quoi ils servent.
Nom donné à la partie la plus touristique de l’île. Elle comprend les lieux suivants: le parc de Pingvellir, le Geysir, le Gullfoss, le Brúarhlöd. Ainsi que le Skálholt et le Kerid que nous ferons demain.
Dans les trois premiers lieux, tout est fait pour le tourisme de masse. Centres d’accueil et boutiques souvenirs, WC. Chemins aménagés pour familles et personnes àmobilitéréduite. Parkings pour pullmans.
Malgré le nombre de personnes sur les différents sites, il y avait peu de trafic sur les routes. voici donc nos impressions.
Parc de Pingvellir
La cascadeLa petite église que l’on trouve dans tous les hameaux.Vue panoramique
Les geysers de Geysir
Le seul encore actif est Strokkur. Le grand Geysir qui projetait à 80 mètres est actuellement dormant.Une eau limpide mais chaude
Les chutes d’eau de Gullfoss.
Avec l’arc-en-ciel Côme dans la pub.Un petit selfieUn sacré débit qui montre comment l’Islande est riche en eau.
Le (petit) canyon de Brúarhlöd
Qui se trouve quelque kilomètres en aval des chutes d’eau.
Une Catia très sage.
À noter que même si les nuages sont revenus petit à petit dans l’après-midi, ce matin nous avions un généreux soleil qui nous a accompagné durant la journée. je pense que ce sera le seul jour de ce type durant nos vacances.
Tous des noms faciles à prononcer. Le dernier étant le lieu dit où se trouve l’hôtel de l’étape.
En partant de Stykkyshólmur ce matin, surprise. La route prévue pour continuer notre voyage n’est pas asphaltée. C’est donc pour cela qu’elle avait une autre couleur sur la carte. La limitation de vitesse était de 80 km/h. Je peux vous assurer que je n’y suis arrivé qu’à de rares occasions. Nous avons roulé environ 50 minutes comme cela avant de rejoindre à nouveau l’asphalte de l’autre côté. Au moins, il y avait peu de circulation.
Il fallait faire tout de même attention aux nids de poule.
Arrêt express au cratère du volcan Gràbrôk, tout à côté de la route. Ses avantages: escaliers confortables jusqu’au sommet. Possibilité d’en faire le tour. Le désavantage de la journée: un vent glacial qui gèle les joues.
On pourrait croire à la grande muraille de Chine. Ce sont les escaliers.Pour vous donner une idée du vent.
Nous sommes allés à Hùsafell exprès pour voir cette fameuse rivière d’eau chaude dans laquelle on pouvait se baigner. Après une heure de marche et quelques doutes liés à la présence d’un conduite relativement neuve, nous avons trouvé la rivière. Il s’agissait d’une résurgence près du captage de 3 mètres de long dans laquelle on aurait pu à peine mettre un pied.
Ceci nous a mis la puce à l’oreille.Voilà l’eau chaude. Comme je l’ai dit, un pied max. voir deux.
Nous nous sommes rattrapé un peu, un peu plus bas dans la vallée. Le captage géothermique pour la région était visible pour les visiteurs. Un débit de 180 litres/seconde à une température de 100 degrés. Donc grillagé pour éviter des accidents aux inattentifs. Il dessert par conduite toute la région sur une longueur de 64 km.
C’est d’ailleurs dans cette eau que nous avons trempé dans les jacuzzi des hôtels à Borgarnes et ce soir à Laxárbakki. Elle est à « peine » à encore 39 degrés. A cette température, il faut éviter de bouger. Sinon c’est la chanson de l’écrevisse…
On pourrait y mettre la main. Mais autant la plonger dans une casserole d’eau chaude.Juste à côté, des serres pour les tomates. Si tu consommes, tu peux t’asseoir dedans. On a testé, un bon 35 degrés.
Nous dormons ce soir à quelques kilomètres au sud de la région que nous venons de visiter le « west Iceland ». C’est la moitié des vacances. Demain direction le sud.
Aujourd’hui deux marches au programme. D’abord le cratère d’Elborg situé au plein milieu des champs, relativement près de fermes. Mais vu l’état du cratère, il a dû se former avant leur construction. Environ 7 km ar. il y avait un vent du tonnerre donc équipement complet. Un (autre) touriste m’avait demandé comment s’approcher du cratère. Ma réponse: à pied, environ 90 minutes. Il est reparti avec sa voiture.
Le cratère principal accompagné de deux acolytes plus modestes. difficile de se rendre compte sur une photo de la pente et de la profondeur.Catia dans la montée Vue en approche. Malgré l’aspect désertique, il y a du bétail dans les environs
Deuxième marche sur les collines de lave d’Hellnar. Des énormes coulées qui on surélevé le niveau de sol de quelques dizaines de mètres sur une largeur entre deux et quatre kilomètres jusqu’à la mer. nous l’avons traversé à pied. Environ 5 km ar.
Ceci est la coulée de lave.Catia dans ses excentricités.Falaise depuis le point de vue « touriste » . Celui où l’on pose sa voiture à 200 mètres.
Petit arrêt intermédiaire à la chute d’eau de Bjarnarfoss. On la voit de la route. Elle coule le long de roches de balsate formées par un volcan.
Dernière destination de la journée, le village de Stykkyshólmur où nous dormons. Particularité, point le plus au nord de notre périple. Dans le détroit que la sépare de terres plus au nord, il y a plein de petites îles ou îlots.
Le petit phare du port. Mais comme il est sur la colline. Il est assez haut.Vue sur le village depuis la colline.La dernière du jour. Belles couleurs à Hellnar en bordure de la coulée.
Aujourd’hui randonnée jusqu’à la plus haute cascade de l’Islande nommée Glymur. Un parcours d’environ 4 kilomètres (8 aller-retour) qui n’est pas plus difficile qu’en Suisse mais avec la particularité qu’il faut traverser une rivière (sans pont) pour avoir droit au panorama complet. Malheureusement Catia n’a pas osé le faire. Je la comprends, l’eau de glacier à 4 degrés, le courant avec la fonte de printemps.
Ben oui, il faut enlever les souliers et le pantalon pour passer. Je suis ici sur le chemin du retour, une fois que Catia m’a dit qu’elle ne pouvait pas me suivre.
Nous avons donc emprunté le sentier de gauche pour monter au sommet de la cascade. La vue n’est pas complète mais quand même magnifique.
Catia dans la pente.À la moitié. A noter que l’autre côté du canyon, on a la vue complète.Juste avant le sommet.Le décor à l’envers depuis le sommet.
À noter qu’en Islande actuellement, il fait tous les temps. Du soleil généreux et chaud (ce qui est rare) à la pluie fine ou intense. Cela vaut aussi pour le vent. Il faut donc jongler avec les différentes couches d’habits.
Nous avons ensuite marché sur la plage à Akranes puis continué jusqu’à Borgarnes petite commune de 2000 habitants où nous dormons ce soir.
Le karaté kid de la plage de sable noir.
Ce qui est intéressant ici , c’est que la mer n’est jamais très loin.
Grâce au décalage horaire (2 heures de moins qu’en Suisse), nous étions déjà pleinement réveillés à 6 heures ce matin. Dans une boulangerie à 7 heures et devant la grande église à 7h20. Sur le chemin un panneau m’a intrigué. Essayez de deviner sa signification avant de regarder la réponse. Lorsqu’on traduit, il faut éviter de mettre un « a » de trop. Sinon ça fait « vente de montres de quartier ».
La réponse est: le voisinage vous regarde »
Toujours bien à l’avance nous étions à 8h45 devant le musée de la nature islandaise qui n’ouvre qu’à neuf heures. Dans un sens c’était une chance car 3 heures plus tard, grâce à la pluie qui avait commencé à tomber, il était très fréquenté. Dans les expositions interactives, une grotte de glace et deux films aurores boréales / éruptions volcaniques.
Température-15L’âge de glace 53. Derrière la glace, Catia en transparence.
Après un arrêt à l’hôtel pour une trempète dans un spa à 40 degrés. Nous avons marché sous la fine pluie pour monter sur le clocher. Enfin moi car Catia ne voulait pas.
Une vue sur la ville depuis la plate-forme.
Nous avons profité de préparer notre périple de demain en soupant à 17h15… eh oui, notre estomac n’est pas encore à l’heure islandaise. Il est 19h30 et nous sommes déjà fatigués.
Pour finir une petite anecdote. Je faisais remarquer qu’ici il y relativement souvent des gens bizarres qui donnent l’impression d’avoir abusé de l’alcool ou d’avoir snifé. Catia m’a fait remarquer qu’à Fribourg, on avait aussi nos « bizarres » notamment près de la gare. Elle n’a pas tort.
3 ans après, Catia peut réaliser son vœux celui de visiter l’Islande pour ses 50 ans. Nous voilà parti à l’aventure. Nous ne savons pas ce qui nous attend réellement sur cette île. Aujourd’hui nous sommes arrivés à Reykjavik où nous séjournerons 2 jours.
Avant d’atterrir, j’ai pu voir une terre plus brune que verte ainsi que la neige qui n’est jamais très loin.
Heureusement, le soleil est présent en ce 1er jour. La ville n’est pas un chef d’œuvre d’architecture. Les styles se mélangent. Il y a quand même un centre convivial où la voiture est presque bannie.
Nous le savions, mais cela reste rude de voir que la nourriture est plus chère qu’en Suisse. Pour cette raison, nous allons essayer de. »bruncher » le matin à l’hôtel et de faire l’impasse sur le repas de midi.
Exemple d’un immeuble récent.Ce n’est pas aussi impressionnant que le philharmonique d’Hamburg mais cela reste un bel exemple de transparence pour celui de Reykjavik.Impressionnante église que nous visiterons demain puisque nous sommes arrivés juste trop tard aujourd’hui.